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	Verschiedene: Deutsche Zeitschrift für Geschichtswissenschaft

während seines Aufenthaltes in Stockholm durch Beziehungen von verschiedener Natur mit der schwedischen Königin und namentlich der Mützenpartei verbunden gewesen, wurde nunmehr von der geschäftigen Fama gehörig verwerthet und ausgebeutet, und es verbreitete sich das Gerücht, Panin und sein früherer Stockholmer College, der nunmehrige preussische Gesandte in Petersburg, Graf Solms, befürworteten angelegentlich eine Vereinbarung zwischen Katharina, Ulrike und Friedrich, der zu Folge Schweden sich in den Besitz von Norwegen setzen und dafür Schwedisch-Pommern an Preussen abgeben sollte^[1]. Diese wenn auch nicht gänzlich erfundenen^[2], so doch zum

die Rede. „Si ce projet est vrai… il n’y a presque plus de doute que ce ne soit un mariage entre la Czarine et le Prince Gustave qu’on médite.“ Abgedr. bei O. Nilsson, Blad ur Konung Gustaf III’s och Drottning Sofia Magdalenas giftermålshistoria. Svenskt Hist. Bibliotek, utg. af C. Silfverstolpe V, 120, Anm. Stockh. 1879.

↑ B. an Schack, 12. Oct. 1762: „Mr. de Panin est… par le pouvoir que certaine liaison à Stockholm a eu sur son coeur, attaché à la reine de Suède.“ Corr. Minist. II, 113, Anm. Ueber diese „liaison“ Panin’s erhalten wir in den „Mémoires sur la politique étrangère, remis par Mr. de Broglie à Louis XV, du 16 avril à la fin d’août 1773“ folgenden interessanten Aufschluss: „Un séjour à Stockholm de 10 ou 12 années [1749–59] l’avait presque naturalisé en Suède, mais tout aussi contribué à faire de ce ministre le prosélyte et l’instrument d’un parti. Sa cour soutenait celui des bonnets… L’intrigue, la vénalité et la flatterie entouraient Mr. de Panin; les femmes s’en mêlèrent; il fut subjugué par celle d’un sénateur [Löwenhielm]. Elle sut tirer parti de cet amant diplomatique et pour sa cabale et pour elle-même, pendant que le ministre russe croyait avoir trouvé dans cet attachement un grand ressort de sa politique et faire un coup d’état toutes les fois qu’il se livrait à un penchant naturel.“ Correspondance Secrète inédite de Louis XV p. p. Boutaric II, 25 u. 26. Paris 1866.
↑ Graf Solms spricht in einem Schreiben an Friedrich d. Gr., Moskau 10./21. März 1763 von der Sendung des Obersten Duriez, „qui devait avoir pour objet l’établissement d’un prince Suédois en Russie ou le mariage de la princesse de Suède avec le Grand-Duc Paul. Le hasard m’a fait apprendre dernièrement la confirmation de cet avis.“ Abgedr. in: Sbornik. Petersb. 1878. XXII, 39. Friedrich selbst schreibt an Ulrike, Potsdam 19. Februar 1767: „On ne m’a rien dit de Petersbourg du projet d’y marier votre fille; mais (ceci soit dit sous le sceau du plus inviolable secret) on parle bien, en cas de mort du Grand-Duc, de vous demander votre second fils pour lui donner cette place.“ Fersen’s Hist. Skrift. III, 365–66. Dass Katharina im Jahre 1767 an eine solche Möglichkeit gedacht haben sollte, erscheint gleichwohl nach den damaligen gespannten russisch-schwedischen Beziehungen völlig ausgeschlossen.

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Verschiedene: Deutsche Zeitschrift für Geschichtswissenschaft. Freiburg i. Br.: Akademische Verlagsbuchhandlung von J. C. B. Mohr, 1889, Seite 435. Digitale Volltext-Ausgabe bei Wikisource, URL: https://de.wikisource.org/w/index.php?title=Seite:De_DZfG_1889_02_435.jpg&oldid=- (Version vom 7.9.2022)

[1] B. an Schack, 12. Oct. 1762: „Mr. de Panin est… par le pouvoir que certaine liaison à Stockholm a eu sur son coeur, attaché à la reine de Suède.“ Corr. Minist. II, 113, Anm. Ueber diese „liaison“ Panin’s erhalten wir in den „Mémoires sur la politique étrangère, remis par Mr. de Broglie à Louis XV, du 16 avril à la fin d’août 1773“ folgenden interessanten Aufschluss: „Un séjour à Stockholm de 10 ou 12 années [1749–59] l’avait presque naturalisé en Suède, mais tout aussi contribué à faire de ce ministre le prosélyte et l’instrument d’un parti. Sa cour soutenait celui des bonnets… L’intrigue, la vénalité et la flatterie entouraient Mr. de Panin; les femmes s’en mêlèrent; il fut subjugué par celle d’un sénateur [Löwenhielm]. Elle sut tirer parti de cet amant diplomatique et pour sa cabale et pour elle-même, pendant que le ministre russe croyait avoir trouvé dans cet attachement un grand ressort de sa politique et faire un coup d’état toutes les fois qu’il se livrait à un penchant naturel.“ Correspondance Secrète inédite de Louis XV p. p. Boutaric II, 25 u. 26. Paris 1866.

[2] Graf Solms spricht in einem Schreiben an Friedrich d. Gr., Moskau 10./21. März 1763 von der Sendung des Obersten Duriez, „qui devait avoir pour objet l’établissement d’un prince Suédois en Russie ou le mariage de la princesse de Suède avec le Grand-Duc Paul. Le hasard m’a fait apprendre dernièrement la confirmation de cet avis.“ Abgedr. in: Sbornik. Petersb. 1878. XXII, 39. Friedrich selbst schreibt an Ulrike, Potsdam 19. Februar 1767: „On ne m’a rien dit de Petersbourg du projet d’y marier votre fille; mais (ceci soit dit sous le sceau du plus inviolable secret) on parle bien, en cas de mort du Grand-Duc, de vous demander votre second fils pour lui donner cette place.“ Fersen’s Hist. Skrift. III, 365–66. Dass Katharina im Jahre 1767 an eine solche Möglichkeit gedacht haben sollte, erscheint gleichwohl nach den damaligen gespannten russisch-schwedischen Beziehungen völlig ausgeschlossen.

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