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	Verschiedene: Deutsche Zeitschrift für Geschichtswissenschaft

dem im späteren Verlaufe der nordischen Frage eine so hervorragende Rolle beschieden –: „Wofern man sich nicht ungeheuerliche Fehler zu Schulden kommen lässt, oder wofern der liebe Gott nicht zu Gunsten des preussischen Königs Wunder thut, müssen wir schon in diesem Winter den Frieden haben^[1].“ Der Optimismus, welcher in solchen Worten zu Tage tritt, erscheint begreiflich, wenn man in Erwägung zieht, dass wenige Tage zuvor in Stockholm die Nachricht von der Niederlage Friedrich’s bei Kolin eingetroffen war. Voller Siegeszuversicht überschritten daher auch die schwedischen Abtheilungen am 13. September 1757 die preussische Grenze. Aber die erhofften Erfolge blieben aus. Schon der glänzende Sieg des preussischen Königs bei Rossbach^[2] (5. November) nöthigte den unfähigen schwedischen Befehlshaber Ungern-Sternberg, Preussisch-Pommern zu räumen und vor seinen Angreifern hinter den Wällen der Festung Stralsund Schutz zu suchen. Krankheit und Hunger, vor Allem aber die strenge Kälte, decimirten die Vertheidiger^[3]. Erst das

↑ Scheffer an Tessin. Drottningholm 22. Juli 1757. Tessinska samlingen. Stockh. Reichsarch.
↑ Es sei mir gestattet, einige schwedische Urtheile über diese Schlacht hier anzuführen. Am 9. Dec. schreibt der Senator N. Palmstierna, ein eifriger Anhänger des französischen Systems, an Tessin: „C’est là où le Roi de Prusse a vérifié votre axiome que l’esprit vaut mieux que 20 000 hommes.“ – Lieutenant A. Sparre, Theilnehmer an der Schlacht im Regiment „Royale Pologne“, schreibt am 10. Nov. aus „Neierode près de Nordhausen“ an seinen Verwandten Tessin u. a. Folgendes: „Le 5., jour dont les Français ne devaient jamais parler… L’ennemi… fit un feu terrible. Dès les premiers coups une terreur aussi panique que déshonorante s’empara tellement de nos troupes que sans avoir lâché que très peu de coups, pour ne pas dire un seul, ils se mirent à courir tant qu’ils avaient des forces. Les Français dans ce moment étaient absolument indignes du nom qu’i[ls] portent. On compte la perte des Français tant tués que blessés et pris entre 6000 à 7000 hommes et celle des Prussiens tout-au-plus à 300… Depuis cela nous avons marché tous les jours dans des fort mauvais chemins et les nuits dans les bois sans avoir un seul morceau à manger. La misère était si grande qu’un jour j’ai payé un petit écu pour un morceau de pain grand comme ma main.“ Beide Briefe in Tessinska saml. Stockh. Reichsarch.
↑ A. Fersen an Cl. Ekeblad, Stralsund 15. Jan. 1758: „La ville manque de bois, les maladies augmentent dans l’armée et cela n’est point surprenant, attendu les fatigues qu’elle a essuyées depuis quelque temps et le froid excessif qu’il a fait depuis un mois; la cavallerie est dans un état pitoyable, les chevaux d’équipage crevés, la caisse militaire dans les plus grands embarras.“ Königl. Bibl. z. Stockholm.

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Verschiedene: Deutsche Zeitschrift für Geschichtswissenschaft. Freiburg i. Br.: Akademische Verlagsbuchhandlung von J. C. B. Mohr, 1889, Seite 420. Digitale Volltext-Ausgabe bei Wikisource, URL: https://de.wikisource.org/w/index.php?title=Seite:De_DZfG_1889_02_420.jpg&oldid=- (Version vom 7.9.2022)

[1] Scheffer an Tessin. Drottningholm 22. Juli 1757. Tessinska samlingen. Stockh. Reichsarch.

[2] Es sei mir gestattet, einige schwedische Urtheile über diese Schlacht hier anzuführen. Am 9. Dec. schreibt der Senator N. Palmstierna, ein eifriger Anhänger des französischen Systems, an Tessin: „C’est là où le Roi de Prusse a vérifié votre axiome que l’esprit vaut mieux que 20 000 hommes.“ – Lieutenant A. Sparre, Theilnehmer an der Schlacht im Regiment „Royale Pologne“, schreibt am 10. Nov. aus „Neierode près de Nordhausen“ an seinen Verwandten Tessin u. a. Folgendes: „Le 5., jour dont les Français ne devaient jamais parler… L’ennemi… fit un feu terrible. Dès les premiers coups une terreur aussi panique que déshonorante s’empara tellement de nos troupes que sans avoir lâché que très peu de coups, pour ne pas dire un seul, ils se mirent à courir tant qu’ils avaient des forces. Les Français dans ce moment étaient absolument indignes du nom qu’i[ls] portent. On compte la perte des Français tant tués que blessés et pris entre 6000 à 7000 hommes et celle des Prussiens tout-au-plus à 300… Depuis cela nous avons marché tous les jours dans des fort mauvais chemins et les nuits dans les bois sans avoir un seul morceau à manger. La misère était si grande qu’un jour j’ai payé un petit écu pour un morceau de pain grand comme ma main.“ Beide Briefe in Tessinska saml. Stockh. Reichsarch.

[3] A. Fersen an Cl. Ekeblad, Stralsund 15. Jan. 1758: „La ville manque de bois, les maladies augmentent dans l’armée et cela n’est point surprenant, attendu les fatigues qu’elle a essuyées depuis quelque temps et le froid excessif qu’il a fait depuis un mois; la cavallerie est dans un état pitoyable, les chevaux d’équipage crevés, la caisse militaire dans les plus grands embarras.“ Königl. Bibl. z. Stockholm.

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